Le « débat » sur la hausse des frais de scolarité prend tellement de
place que j’ai l’impression de ne pas pouvoir écrire à propos d’autre
chose…
Je ne suis pas seul dans cette situation. Pas seul non-plus à vouloir
ramener le débat à ses bases ou à la limite à un simple compromis entre
le gouvernement et les étudiants, histoire que l’on puisse mener le vrai
débat dans le calme. Quoique des fois je doute. À voir comment on a
déjà oublié la crise de 2008, comment le mouvement Occupy Wall Street
qui n’a qu’un an est devenu un lointain souvenir… Peut-être faut-il
souhaiter que tout cela continue pour qu’on en vienne enfin à un vrai
débat? Mais ce n’est pas viable et, le vrai débat, il se fait lors des
élections et rendu là, malheureusement, il y a bien peu de chance que
l’on échappe aux éternelles querelles de chiffres et de formules vide de
sens.
M’enfin, je laisse les autre parler un peu. Ianik Marcil appel au calme et à la discussion tout en soulignant que l’homme moyen, le contribuable moyen n’existe pas. David Desjardins de son côté résume bien ce sentiment que l’on a tous de vouloir en parler sans le faire…
Bonne lecture!
.jpm
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