22 août 2013

L’action dans le doute

Je vous rassure, je n’ai pas trouvé l’illumination. Il y a bien ce job chez TED à New York, mais ils demandent d’être au bureau à NYC au moins 3 à 5 jours par semaines, ça fait pas mal de jour à l’extérieur de la ville…

Alors non, je n’ai pas nécessairement trouvé la voie ultime, il n’y en a probablement pas non plus. Et puis ce que j’ai n’ai pas si mal, je pense que je devrais plutôt essayer de profiter de la situation actuelle et poursuivre ce que j’envisageais comme un plan de match raisonnable à la fin de ma session d’hiver. C’est-à-dire utiliser mon 4h de sans solde par semaine pour mener à bien quelques projets qui me tiennent à cœur.

Le problème sera peut-être de trouver lesquels, mais je vais essayer de faire ça sans trop de pression, en gardant à l’esprit que je fais pour m’amuser.

Reste le côté boulot. Encore là je me dis que je dois travailler avec ce que j’ai. Il y a des opportunités, il s’agit d’être patient et de les saisir quand elles passent. Et puis, il est aussi possible d’en créer. Dans une petite entreprise il y a toujours de la place pour ceux qui veulent faire un peu plus…

Bref, je suis toujours enclin au doute, je l’ai toujours été. Je doute peut-être un peu plus ces derniers temps parce que j’ai un peu plus réfléchis à ma situation, à ce nouveau diplôme que j’ai, à ces ouvertures potentielles, mais je choisis l’action, je bouge, parce que s’il y a une chose dont je suis certain c’est que je suis un gars actif, plein de projet, qui n’aime pas rester à rien faire !

.jpm

1 août 2013

Toujours dans le doute

Remise en question de la quarantaine? Je ne sais pas, peut-être. Mais je crois surtout que c’est la fin de mon bacc… Ce problème d’avoir bien des diplômes, des expériences, de l’ancienneté, bien du potentiel quoi, mais pas de savoir quoi faire avec.

Le problème c’est que je suis bon dans pleins de trucs, que tout m’intéresse ou presque et que je suis capable de trouver à peu près n’importe quel boulot gratifiant, mais que je n’ai pas de passion spécifique…

Je pourrais bien essayer d’être prof d’économie au cégep ou journaliste scientifique, vendeur au bureau… Je pourrais retourner dans un lab faire de la science en haute technologie ou travailler à L’institut de la statistique du Québec, je pourrais peut-être même me partir une petite entreprise de distribution je ne sais quoi…

Tout ça m’intéresserait, je crois avoir ce potentiel et j’ai une foule d’autres projets plus personnels… Écriture, photo, site web et j’en passe. Mais voilà, je ne trouve pas l’énergie et puis bon rien ne me passionne réellement alors je ne sais trop quelle direction prendre.

Et au bout du compte, je suis là avec 20 ans de boulot encore devant moi, plein d’avenues possibles, mais sans savoir laquelle choisir et donc je broie du noir parce que je vois le temps filer, les occasions se dissoudre et moi qui fait du sur-place englué dans mon quotidien…

Bref, je suis toujours dans le doute.

.jpm